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Reportage
de Jocelyne Pied et Michel Blot,
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Le poids du chargement
repose en partie sur la tête. |
La charge est généralement
posée dans un panier, le doko, retenu par une large lanière
qui passe sur le front.
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Peu
de routes sont tracées au Népal et dès que l'on quitte
les vallées du Sud, il n'y a plus que des sentiers.
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Les muscles et le squelette du cou sont soumis à des efforts violents. Seuls ceux qui y sont habitués depuis leur enfance peuvent le supporter. |
Comme ils sont payés au poids porté et à la distance parcourue, ils n'hésitent pas à prendre de lourdes charges, bien plus lourdes que celles qui sont en principe autorisées (50kg pour un homme, 30 kg pour une femme). |
Même la viande est ainsi transportée. |
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Avec des fardeaux
pouvant atteindre 70 voire 80 kg, ils vont lentement, pieds nus ou mal
chaussés, sur des chemins pierreux et escarpés, s'aidant
d'un bâton pour garder l'équilibre. |
Les porteurs partent en groupe, souvent pour plusieurs jours, avec provisions et matériel de cuisine, et |
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s'arrêtent au
bord du sentier pour préparer leur repas. |
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Il ne faut pas gaspiller
son salaire ! Il leur est cependant possible de s'arrêter dans de
nombreuses maisons où ils trouvent du thé, un repas et un
abri pour la nuit. |
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